jeudi 8 décembre 2011

La Conclusion

Voici, le site , à la carte hypertrophié

Une œuvre contemporaine n’est pas nécessairement tout ce qui vient des années contemporaines. Une œuvre contemporaine doit à la fois s’étonner et bouleverse aux spectateurs. Un spectacle de la danse contemporaine m’a fait peur. Une petite festival du film a changé mon image du Cinéma. Une pièce m’a fait des rires aux larmes. Une composition créative a modifié les critères de ce quelle fait la bonne musique. Par ailleurs, ce qui a rendu tous ces œuvres aussi captivantes était leur dimension flexible— de traverser le cadre de son propre genre d’art. Par exemple, un danseur construit son scène avec les moyens de la technologie et du graphisme. Comme le danseur, j’ai choisi de présenter un projet où sa forme suit sa fonctionne. Pour cette raison, j’ai utilisé un format multimédia, construite d’un blog et d’une carte interactive, pour présenter mon journal. Comme les domaines des œuvres contemporaines qui s’étaient redéfinies, mon journal est sorti sa propre définition traditionnelle. Mon journal ne sera plus une feuille de papier de quelque chose privé et caché, mais quelque chose interactive sur Internet pour le publique.

lundi 5 décembre 2011

In Perceptions: L'exposition d'art @ Centquatre

Je me suis regardée dans le miroir, mais il n’y avait pas de réflexion. Je me suis allongée par terre, mais je me voyais tomber d’un immeuble. Chaque fois je pensais que je serais frappé, les objets ont flotté plutôt. Je suis entrée une chambre constitué des portes et des miroirs, mais je ne pouvais pas les distinguer. Enfin, je suis entrée une autre chambre, et j’ai vu rien. Si vous croyez tous ce que vous voyez, je ne recommanderai pas l’expositionIn Perceptions --une exposition qui joue beaucoup avec son vision.

C’est la première fois que j’avais crée l’art à une exposition. Dans toutes les cinq mini-expos, c’était moi, le spectateur et pas l’artiste, qui les complétait en participant. J’avais donné un titre aux activités d’arts avec une petite description de chacun en-dessous :

i. La chaise d’un fantôme

· On entre une salle avec un seul fauteuil, situé devant un miroir. Après avoir s’asseoir, on se regarde dans le miroir. Quand la stimulation commence, son vision mit à changer. D’abord, son corps disparaisse dans la glace. Doucement, on ne voit que sa silhouette, puis des brumes, et finalement rien du tout. Aucune réflexion. L’expérience avait fini.

ii. L’effet d’Hollywood

· On entre une espace qui semble de sortir une scène d’Hollywood : une belle façade des appartements et ses balcons— avec l’exception que la scène est situé par terre. En face en perpendiculaire est un grand miroir vertical. Il n’y a pas d’une œuvre d’art encore. Quand on s’a allonge en scène, le vrai œuvre d’art apparait dans le miroir. C’est l’image de soi-même dans une scène à l’inverse. On a l’impression que l’on est en train de tomber. L’expérience avait fini.

iii. Les assiettes flottantes

· On entre une salle fondé, où la seule lumière vient d’un tuyau. On s’allonge sur un canapé, en regardant dedans le tuyau. Des assiettes sont jetées dedans le tuyau. On les attend de tomber, mais ils sont flottants, comme les U.F.O. Le tuyau, un système de ventilation, défie la gravité. Soudain, les assiettes tombent sur mon visage, mais ne me touchent pas. L’expérience avait fini.

iv. La glace magique

· On entre un labyrinthe des portes et des miroirs. Tout est identique. On tente de passer les portes, mais on frappe son tête sur un miroir. L’entrée était fausse, crée par les miroirs qui ont reflété l’image des autres portes. Si on avait la chance, on échapperait. L’expérience avait fini.

v. La salle du brouillard

· La porte à l’entrée ouvre. On voit des brumes blanches qui viennent dedans la salle. On entre avec son amie, mais après plusieurs pas, on s’est perdu. On ne voit plus son amie. On ne voit pas les murs de la salle. On voit juste le brouillard, qui a dominé tout les choses dans la chambre. On se sent aveugle. Quand on trouve la sortie, l’expérience avait fini.

Cette exposition dépend sur les perceptions et les expériences de spectateurs. La définition d’une exposition est non plus juste pour les spectateurs à voir. En engageant avec les œuvres d’exposition, on change aussi ce qui il s’agit ; l’image inversé dans le miroir n’existerait pas si les spectateurs ne participent pas en s’allongeant pas sur scène. Les spectateurs ont besoin d’activer leurs sens pour voir— même ressentir (feel) —l’exposition.

Le Concert @ Auditorium du Louvre

Sonate en sol mineur (1917), Création mondiale (2011), Divertimento, suite du Baiser de la Fée; (1934)

Le concert, vu à l’auditorium du musée de Louvre, est le duo d’une violiste, Carolin Widmann, et Simon Lepper, un pianiste. En somme, ils jouent trois compositions— des classiques de Claude Debussy et Stravinski à l’œuvre contemporaine de Christian Mason, un jeune composeur de vingt-six ans. Ce qui intéresse le sujet de cet essai, est bien sûr, la dernière composition.

Dans cette composition contemporaine, il y avait six mouvements. Une partie est jouée en utilisant le bruit. Lepper a piqué les cordes qui a tiré les clés, tandis que Widmann utilisait ses doigts de jouer les cordes du violon. Cette combinaison a crée un bruit qui n’était ni harmonique ni beau. En même temps, la synchronisation des deux instruments— la dynamique et la vitesse — rend le bruit un aspect musical ; après tout, ce n’est pas pareil aux claquements des petites enfants.


La composition symbolisait le processus à se moduler. L’idée est nouvelle et contemporaine : il s’agit de l’adaptabilité de notre propre personnalité aux changements qui arrivent graduellement avec du temps. Comme les obstacles de vie que l’on ne peut pas éviter, la composition ne manque non plus les correspondances et des résonnances désaccordées. Dans un contexte contemporain, même la cacophonie pourrait être vénérable. En représentant le temps dur de la vie, un aspect réel mais souvent négligé, l’auditeur se trouve alors progressivement transporté vers un autre monde éclatant.


Cette composition, je ne pourrais pas l’aimé complètement parce que ses aspects bruyants m’ont perturbé. Je préfère plus écouter les harmonies accordées que les sons discordants. En même temps, c’est une œuvre bouleversaient que j’apprécie et ne pourrais jamais la détester. Dédiée à Weidman qui a été l’inspiration de Mason, la musique redéfinit la bonne musique.

Les filles en Aiguilles: Pièce @ Théâtre de la Michodiere

Une jolie femme. Un homme beau. Ce couple semble content, jusqu’à l’arrivée d’une autre femme. L’homme se cache dans une armoire pour éviter cette deuxième femme, son vrai petite amie. Premier mensonge d’histoire. Ensuite, l’arrivée d’un autre homme qui pense que la première femme est amoureuse de lui. Deuxième mensonge. Beaucoup de l’argent est perdu. Un autre mensonge. Plusieurs de frappes aux joues différentes. Une proposition de mariage donnée. Encore plus de complications…mais n’inquiétez pas, le dénouement serai un happy-ending !

Voilà, l’intrigue basic d’une comédie musicale. Que ce soit une pièce ancienne, que ce soit une pièce contemporaine, l’intrigue reste toujours compliquée, dramatique, et surtout amusante. Dans Les Filles en Aiguilles, on trouve à la fois le drame d’une comédie shakespearienne, et l’humour ironique de Molière. En somme, il s’agit d’un couple qui se trouve dans une situation hyper compliqué. La scène commence au lit du couple, où la femme principale avait couché avec son nouvel copain le soir avant. Cette scène arrive encore plusieurs fois, dans laquelle la femme principale apparaît presque nue, avec juste une serviette qui la couvre. Cet aspect de demi-nudité ne m’étonne plus, comme c’est déjà un fait qu’Europe est plus libre avec la nudité, et l’illustration du sexe est moins d’un tabou qu’en Asie ou aux États-Unis.

En revanche, ce qui m’étonnait était l’intrigue avec tous ses coups de théâtre. On rencontre vite tous les personnages et leurs interrelations avec l’un et l’autre. D’abord, il y a la meilleure amie de la femme principale, qui travaille avec lui comme les danseurs exotiques. On apprend ensuite que le mec de la femme principale est, en fait, aussi le copain de la meilleure amie. Puis, on rencontre un voyou puissant, qui est le patron de tous les deux danseurs. Il ne connait pas l’existence du nouvel copain de la femme principale et est amoureux d’elle. Un jour, il le trouve chez la maison de la femme principale. Afin de cacher la vérité au voyou, il s’habille dans une coutume de femme, avec une perruque des bouclées blondes. Après ça, il chante, danse, et parle avec une voix haute comme celui d’une femme pour être plus convaincu.

En engageant les autres domaines d’art, comme la danse et la musique, il était un grand élément de surprise. J’étais très choquée et sa performance m’a fait aux rires. Cet homme déguisé ressemble au personnage principal dans Un Fils à la Patte de Molière, qui mentit aussi d’être chanteur. Je trouve aussi beaucoup plus de parallèles entre ces deux pièces : soit l’amour de triangle entre les deux femmes et un homme, soit le mariage condamné au début, soit la résoudre heureuse suivante à la fin. Voici, une intrigue classique, mit dans une scène contemporaine. Les personnages s’habillent dans les vêtements quotidiens, et les acteurs jouent des rôles qui souvent traversent le domaine des autres arts. En effet, la scénographie donne le sens que l’histoire sort de notre propre vie quotidienne. On n’est pas très loin d’être le couple qui se menti, puis perd et détruit leur l’amant. Il faut réfléchir, et non seulement rire.

Les Courts Métrages Tunisiens @ Centre Wallonie Bruxelles à Paris

Les cinq courts métrages Tunisiens vus, en chronologie : Le Virage (4 min), Le Fond du Puits (13 min), La Vague (Mouja) (11 min), La Boue (18min), Linge Sale (20)

Quand je suis allée au Centre Wallonie Bruxelles pour voir les 5 courts métrages Tunisiens, je croyais que ce serait être une expérience parait au cinéma— mais je me suis trompée. Ce petit festival de film était le lieu pour les cinéphiles de se communiquer avec les autres cinéphiles. D’aller au festival de film est, en fait, une activité très sociale. Avant le commencement des métrages, on est bien accueilli par le directeur de Centre Wallonie Bruxelles. Ensuite, une actrice dans l’un des cinq métrages nous a dit les thèmes et l’intrigue général des tous les métrages. L’ambiance-là était sympa et les gens très agréables ; l’interaction entre les spectateurs et l’actrice nous a fait une petite communauté tout de suite. C’était dans cette ambiance— une espèce d’échange intelligente— on a vu les métrages contemporaines.

Bien qu’ils soient les œuvres des réalisateurs divers, tous les cinq métrages ont une cohérence dans leurs thèmes : récupérer les relations et sauver l’amour dans la vie. Tous montrent aussi une dimension spécifique de la culture Tunisienne, dans la chronologie ci-dessous :

  1. · Le Virage
  2. · Le Fond du Puits
  3. · La Vague
  4. · La Boue
  5. · Linge-Sale

Les styles de chaque métrage assez distincts, permettent les réactions variés des spectateurs. Dans La Boue, par exemple, le réalisateur a enlevé les sous-titres français. Son choix avait rendu les spectateurs sympathiques au personnage principal. L’histoire est à propos d’Esghayer, un mec qui retourne au son village natal après son service militaire, n’en trouvant que des ruines après une grande inondation. En cherchant son père au milieu de la foule, il se trouve dans la solitude parce que personne ne peut s’aider — mes sentiments exactement en ce moment-là car je n’ai compris rien de la parole. Comme la plupart des spectateurs sont francophones, il semblait que personne ne bien comprenaient. Par conséquence, on était isolé par l’intention du réalisateur pour ressentir une solitude simultanément. Au contraire du cinéma, on n’avait pas le choix de demander nos préférences spécifiques (sous-titré ou pas). La notion d’un festival de film avait changé la manière traditionnelle pour voir des films. De plus, ces courts métrages durant de 4 à 20 minutes, ont changé aussi la limite minimum d’un film.

Kaiju: La Danse Contemporaine @ Le Centquatre

Une mise-en-scène étrange. Une musique au fond fragmentée. Une scénographie crée avec la haute technologie. Voilà— je me suis trouvée dans une salle d’un spectacle pour voir une danse contemporaine. Attendez, pourquoi y a-t-il des hommes nus ?


Sans doute ce soir-là, mon expérience au Centquatre était mémorable … je vais me souvenir toujours de la raison de jamais aller voir un autre spectacle de la danse contemporaine. Tandis que je n’exagère pas les éléments bizarres de la danse, je me pardonne si j’avais donné l’impression que j’ai détesté la danse entière. D’ailleurs certaines aspects— la chorégraphie originale, l’usage du design graphique au fond, l’histoire de la transformation des danseurs aux monstres mythiques –- a rendu la danse quelque chose de spectaculaire, dans lequel on ne trouvera pas un moment où on s’ennuie. La danse a commencé avec un seul danseur, qui a eu l’air fou : Il tombait, il tournait en cercles, il ployait à la renverse en faisant des gestes coupé en ruptures. Ce que l’on voyait, en fait, était une danse de quelqu’un en train de se combattre contre sa transformation à une bête— un thème que j’avais rencontré aussi récemment, dans un roman contemporain d’Olivia Rosenthal, Que Font Les Rennes Après Noël. Je me demande, donc, pourquoi cet obsession avec le lien entre les sauvages et les humains ?


J’étais encore frappée par les deux hommes nus qui étaient arrivé en scène juste à faire deux tours autour du stage avec une lumière aveuglante ; ils ne donnaient ni de mouvements de danse ni de parole. Alors, à quoi servaient-ils ? Des jeunes dans la salle ont éclaté aux rires. Des autres gens les ont regardés : « C’est un art. Respectez-le ». Mais il y avait aussi le dernier type de gens, qui cachaient d’être mal à l’aise en silence. J’ai fait partie dans tous les trois catégories— d’abord choquée, puis contrariée, enfin mal au cœur. Les deux hommes nus s’est entouré le danseur principal, qui faisait les gestes exagérés et obscènes. Tous ce qui passait en ce moment-là me ressemblaient au cirque. En effet, l’incarnation de Kaiju, une bête étrange, est devenue plus crédible. Eric Minh Cuong Castaing, le chorégraphe a réussi dans sa représentation abstraite et sauvage avec sa combinaison des mouvements aléatoires, comme s’il n’y avait pas un ordre particulier.


C’était une création originale où la routine n’est plus construite des poses exactes qui se suivent l’un après l’autre, comme en danse classique. De plus, le grand écran de plastique transparente est bien placé en arrière, ou la scène avait changé avec chaque projection. Les images projetées étaient un mélange de dessin animé et du jeu vidéo. Grâce à l’usage de la technologie, la scène était transgressive et énergétique— même si le décor n’était pas assez accentué, comme celui du ballet de Marie-Antoinette (des pilastres baroques, un palais dorée).

Cette danse contemporaine était une fusion de la spécialité d’un graphiste et la chorégraphe d’un danseur ; Castaing avait été créateur dans le cinéma d’animation avant devenant danseur. Donc, il a crée une danse qui a frôlé la côté d’une œuvre du graphisme.