lundi 5 décembre 2011

In Perceptions: L'exposition d'art @ Centquatre

Je me suis regardée dans le miroir, mais il n’y avait pas de réflexion. Je me suis allongée par terre, mais je me voyais tomber d’un immeuble. Chaque fois je pensais que je serais frappé, les objets ont flotté plutôt. Je suis entrée une chambre constitué des portes et des miroirs, mais je ne pouvais pas les distinguer. Enfin, je suis entrée une autre chambre, et j’ai vu rien. Si vous croyez tous ce que vous voyez, je ne recommanderai pas l’expositionIn Perceptions --une exposition qui joue beaucoup avec son vision.

C’est la première fois que j’avais crée l’art à une exposition. Dans toutes les cinq mini-expos, c’était moi, le spectateur et pas l’artiste, qui les complétait en participant. J’avais donné un titre aux activités d’arts avec une petite description de chacun en-dessous :

i. La chaise d’un fantôme

· On entre une salle avec un seul fauteuil, situé devant un miroir. Après avoir s’asseoir, on se regarde dans le miroir. Quand la stimulation commence, son vision mit à changer. D’abord, son corps disparaisse dans la glace. Doucement, on ne voit que sa silhouette, puis des brumes, et finalement rien du tout. Aucune réflexion. L’expérience avait fini.

ii. L’effet d’Hollywood

· On entre une espace qui semble de sortir une scène d’Hollywood : une belle façade des appartements et ses balcons— avec l’exception que la scène est situé par terre. En face en perpendiculaire est un grand miroir vertical. Il n’y a pas d’une œuvre d’art encore. Quand on s’a allonge en scène, le vrai œuvre d’art apparait dans le miroir. C’est l’image de soi-même dans une scène à l’inverse. On a l’impression que l’on est en train de tomber. L’expérience avait fini.

iii. Les assiettes flottantes

· On entre une salle fondé, où la seule lumière vient d’un tuyau. On s’allonge sur un canapé, en regardant dedans le tuyau. Des assiettes sont jetées dedans le tuyau. On les attend de tomber, mais ils sont flottants, comme les U.F.O. Le tuyau, un système de ventilation, défie la gravité. Soudain, les assiettes tombent sur mon visage, mais ne me touchent pas. L’expérience avait fini.

iv. La glace magique

· On entre un labyrinthe des portes et des miroirs. Tout est identique. On tente de passer les portes, mais on frappe son tête sur un miroir. L’entrée était fausse, crée par les miroirs qui ont reflété l’image des autres portes. Si on avait la chance, on échapperait. L’expérience avait fini.

v. La salle du brouillard

· La porte à l’entrée ouvre. On voit des brumes blanches qui viennent dedans la salle. On entre avec son amie, mais après plusieurs pas, on s’est perdu. On ne voit plus son amie. On ne voit pas les murs de la salle. On voit juste le brouillard, qui a dominé tout les choses dans la chambre. On se sent aveugle. Quand on trouve la sortie, l’expérience avait fini.

Cette exposition dépend sur les perceptions et les expériences de spectateurs. La définition d’une exposition est non plus juste pour les spectateurs à voir. En engageant avec les œuvres d’exposition, on change aussi ce qui il s’agit ; l’image inversé dans le miroir n’existerait pas si les spectateurs ne participent pas en s’allongeant pas sur scène. Les spectateurs ont besoin d’activer leurs sens pour voir— même ressentir (feel) —l’exposition.

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