lundi 5 décembre 2011

Kaiju: La Danse Contemporaine @ Le Centquatre

Une mise-en-scène étrange. Une musique au fond fragmentée. Une scénographie crée avec la haute technologie. Voilà— je me suis trouvée dans une salle d’un spectacle pour voir une danse contemporaine. Attendez, pourquoi y a-t-il des hommes nus ?


Sans doute ce soir-là, mon expérience au Centquatre était mémorable … je vais me souvenir toujours de la raison de jamais aller voir un autre spectacle de la danse contemporaine. Tandis que je n’exagère pas les éléments bizarres de la danse, je me pardonne si j’avais donné l’impression que j’ai détesté la danse entière. D’ailleurs certaines aspects— la chorégraphie originale, l’usage du design graphique au fond, l’histoire de la transformation des danseurs aux monstres mythiques –- a rendu la danse quelque chose de spectaculaire, dans lequel on ne trouvera pas un moment où on s’ennuie. La danse a commencé avec un seul danseur, qui a eu l’air fou : Il tombait, il tournait en cercles, il ployait à la renverse en faisant des gestes coupé en ruptures. Ce que l’on voyait, en fait, était une danse de quelqu’un en train de se combattre contre sa transformation à une bête— un thème que j’avais rencontré aussi récemment, dans un roman contemporain d’Olivia Rosenthal, Que Font Les Rennes Après Noël. Je me demande, donc, pourquoi cet obsession avec le lien entre les sauvages et les humains ?


J’étais encore frappée par les deux hommes nus qui étaient arrivé en scène juste à faire deux tours autour du stage avec une lumière aveuglante ; ils ne donnaient ni de mouvements de danse ni de parole. Alors, à quoi servaient-ils ? Des jeunes dans la salle ont éclaté aux rires. Des autres gens les ont regardés : « C’est un art. Respectez-le ». Mais il y avait aussi le dernier type de gens, qui cachaient d’être mal à l’aise en silence. J’ai fait partie dans tous les trois catégories— d’abord choquée, puis contrariée, enfin mal au cœur. Les deux hommes nus s’est entouré le danseur principal, qui faisait les gestes exagérés et obscènes. Tous ce qui passait en ce moment-là me ressemblaient au cirque. En effet, l’incarnation de Kaiju, une bête étrange, est devenue plus crédible. Eric Minh Cuong Castaing, le chorégraphe a réussi dans sa représentation abstraite et sauvage avec sa combinaison des mouvements aléatoires, comme s’il n’y avait pas un ordre particulier.


C’était une création originale où la routine n’est plus construite des poses exactes qui se suivent l’un après l’autre, comme en danse classique. De plus, le grand écran de plastique transparente est bien placé en arrière, ou la scène avait changé avec chaque projection. Les images projetées étaient un mélange de dessin animé et du jeu vidéo. Grâce à l’usage de la technologie, la scène était transgressive et énergétique— même si le décor n’était pas assez accentué, comme celui du ballet de Marie-Antoinette (des pilastres baroques, un palais dorée).

Cette danse contemporaine était une fusion de la spécialité d’un graphiste et la chorégraphe d’un danseur ; Castaing avait été créateur dans le cinéma d’animation avant devenant danseur. Donc, il a crée une danse qui a frôlé la côté d’une œuvre du graphisme.

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