lundi 5 décembre 2011

Le Concert @ Auditorium du Louvre

Sonate en sol mineur (1917), Création mondiale (2011), Divertimento, suite du Baiser de la Fée; (1934)

Le concert, vu à l’auditorium du musée de Louvre, est le duo d’une violiste, Carolin Widmann, et Simon Lepper, un pianiste. En somme, ils jouent trois compositions— des classiques de Claude Debussy et Stravinski à l’œuvre contemporaine de Christian Mason, un jeune composeur de vingt-six ans. Ce qui intéresse le sujet de cet essai, est bien sûr, la dernière composition.

Dans cette composition contemporaine, il y avait six mouvements. Une partie est jouée en utilisant le bruit. Lepper a piqué les cordes qui a tiré les clés, tandis que Widmann utilisait ses doigts de jouer les cordes du violon. Cette combinaison a crée un bruit qui n’était ni harmonique ni beau. En même temps, la synchronisation des deux instruments— la dynamique et la vitesse — rend le bruit un aspect musical ; après tout, ce n’est pas pareil aux claquements des petites enfants.


La composition symbolisait le processus à se moduler. L’idée est nouvelle et contemporaine : il s’agit de l’adaptabilité de notre propre personnalité aux changements qui arrivent graduellement avec du temps. Comme les obstacles de vie que l’on ne peut pas éviter, la composition ne manque non plus les correspondances et des résonnances désaccordées. Dans un contexte contemporain, même la cacophonie pourrait être vénérable. En représentant le temps dur de la vie, un aspect réel mais souvent négligé, l’auditeur se trouve alors progressivement transporté vers un autre monde éclatant.


Cette composition, je ne pourrais pas l’aimé complètement parce que ses aspects bruyants m’ont perturbé. Je préfère plus écouter les harmonies accordées que les sons discordants. En même temps, c’est une œuvre bouleversaient que j’apprécie et ne pourrais jamais la détester. Dédiée à Weidman qui a été l’inspiration de Mason, la musique redéfinit la bonne musique.

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