lundi 5 décembre 2011

Les Courts Métrages Tunisiens @ Centre Wallonie Bruxelles à Paris

Les cinq courts métrages Tunisiens vus, en chronologie : Le Virage (4 min), Le Fond du Puits (13 min), La Vague (Mouja) (11 min), La Boue (18min), Linge Sale (20)

Quand je suis allée au Centre Wallonie Bruxelles pour voir les 5 courts métrages Tunisiens, je croyais que ce serait être une expérience parait au cinéma— mais je me suis trompée. Ce petit festival de film était le lieu pour les cinéphiles de se communiquer avec les autres cinéphiles. D’aller au festival de film est, en fait, une activité très sociale. Avant le commencement des métrages, on est bien accueilli par le directeur de Centre Wallonie Bruxelles. Ensuite, une actrice dans l’un des cinq métrages nous a dit les thèmes et l’intrigue général des tous les métrages. L’ambiance-là était sympa et les gens très agréables ; l’interaction entre les spectateurs et l’actrice nous a fait une petite communauté tout de suite. C’était dans cette ambiance— une espèce d’échange intelligente— on a vu les métrages contemporaines.

Bien qu’ils soient les œuvres des réalisateurs divers, tous les cinq métrages ont une cohérence dans leurs thèmes : récupérer les relations et sauver l’amour dans la vie. Tous montrent aussi une dimension spécifique de la culture Tunisienne, dans la chronologie ci-dessous :

  1. · Le Virage
  2. · Le Fond du Puits
  3. · La Vague
  4. · La Boue
  5. · Linge-Sale

Les styles de chaque métrage assez distincts, permettent les réactions variés des spectateurs. Dans La Boue, par exemple, le réalisateur a enlevé les sous-titres français. Son choix avait rendu les spectateurs sympathiques au personnage principal. L’histoire est à propos d’Esghayer, un mec qui retourne au son village natal après son service militaire, n’en trouvant que des ruines après une grande inondation. En cherchant son père au milieu de la foule, il se trouve dans la solitude parce que personne ne peut s’aider — mes sentiments exactement en ce moment-là car je n’ai compris rien de la parole. Comme la plupart des spectateurs sont francophones, il semblait que personne ne bien comprenaient. Par conséquence, on était isolé par l’intention du réalisateur pour ressentir une solitude simultanément. Au contraire du cinéma, on n’avait pas le choix de demander nos préférences spécifiques (sous-titré ou pas). La notion d’un festival de film avait changé la manière traditionnelle pour voir des films. De plus, ces courts métrages durant de 4 à 20 minutes, ont changé aussi la limite minimum d’un film.

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